L’opposant Congolais, Martin Fayulu, vient d’alerter l’opinion publique, ce lundi 25 mars 2024, à travers un message via son compte X (ex twitter) pour dénoncer l’insécurité grandissante dans les villes de la République Démocratique du Congo, singulièrement dans la capitale à Kinshasa.
Le président national du parti « Engagement pour la Citoyenneté et le Développement » (ECiDé) s’insurge contre ce qu’il qualifie du « silence » des dirigeants Congolais contre ce fléau qui ronge la population, notamment le banditisme urbain, appelé autrement phénomène « Kuluna » ainsi que celui de la « Force du progrès », un mouvement attribué au parti présidentiel, l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social » (UDPS). Ces deux phénomènes qui sèment la terreur dans la capitale.
Avant la dénonciation de celui-ci, plusieurs voix se sont levées à Kinshasa pour s’opposer aux tristes réalités citées ci-haut, question pour les services compétents de pallier ces maux qui mettent en difficulté la vie des paisibles citoyens.
Alors que Martin Fayulu parle de l’« absence manifeste de l’autorité de l’État », le Gouvernement Congolais, de son côté, avait récemment levé le moratoire sur l’exécution de la peine de mort pour des infractions telles que la trahison, participation à des bandes armés, rébellion, crime de guerre, crime contre l’humanité, crime de génocide, espionnage, desobéissance, le banditisme urbain (Kuluna) et consorts.
Lionel Akwil